05.01.25 Avyakt Bapdada French Murli
17.10.2003 Om Shanti Madhuban
Devenez des joyaux
de contentement tout au long de l’année,
restez toujours contents et rendez les autres contents.
Aujourd’hui,
BapDada, Celui qui réconforte les cœurs, est content de voir chacun de Ses
enfants royaux bien-aimés (raj‑dulari), les enfants extrêmement aimants de
partout qui sont devant Lui ainsi que ceux qui sont loin et cependant proches.
Chaque enfant est un roi et est par conséquent un enfant royal particulièrement
aimé. Très peu d’âmes dans le monde accèdent à l’amour et à l’affection royale
de Dieu. Néanmoins, vous tous avez droit à cet amour et à cette affection royale
de Dieu. Dans le monde, les âmes appellent: «Viens, viens» alors que vous faites
tous l’expérience de l’amour de Dieu. Vous recevez le soutien de Dieu.
Réalisez-vous votre fortune? En faites-vous l’expérience? BapDada vous voit tous
comme ceux qui ont droit à un double royaume. Vous êtes des rois qui ont droit à
la souveraineté de soi du présent et le royaume du futur est votre droit de
naissance. Vous êtes donc bien deux fois rois. Vous êtes tous des rois, n’est-ce
pas? Vous n’êtes pas des sujets. Etes-vous des Raja yogis ou certains sont-ils
des praja-yogis (des yogis qui deviennent des sujets)? Y a-t-il des praja-yogis?
Ceux du fond sont-ils des Raja-yogis? Il n’y a pas de praja-yogis, n’est-ce pas?
En êtes-vous sûrs? Répondez oui après y avoir mûrement réfléchi. Avoir droit au
royaume signifie avoir un droit sur tous vos organes physiques et subtils parce
que vous êtes maîtres de vous-mêmes, n’est-ce pas? Devenez-vous des rois
seulement parfois ou le restez-vous tout le temps?
L’essentiel est: «Exercez-vous
un droit sur votre esprit, votre intellect et vos sanskars? Avez-vous un droit
sur eux toujours ou seulement de temps en temps?». Être souverain de soi veut
dire l’être constamment. Ou bien l’exercez-vous un jour et pas le lendemain? Un
royaume, c’est pour tout le temps, non? Être constamment un souverain de soi,
maître de soi, veut dire avoir toujours un droit sur son esprit, son intellect
et ses sanskars. Avez-vous ce droit tout le temps? Vous ne répondez pas «oui» à
cette question. Arrive-t-il à votre esprit de gouverner ou est-ce vous qui le
gouvernez? Votre esprit devient-il parfois le maître? Il le devient bien,
n’est-ce pas? Ayez toujours un droit à la souveraineté de soi et donc un droit
au royaume du monde.
Par conséquent,
vérifiez toujours cela parce que plus vous exercez ce droit de façon puissante
sur vos organes subtils - votre esprit, votre intellect et vos sanskars -, plus
vous recevrez un droit au royaume dans le futur. Si, tout en recevant le soutien
de Dieu, Ses enseignements et Ses instructions élevées, vous n’exercez pas un
droit de façon constante dans cette seule vie de l’âge de confluence, comment
deviendrez-vous ceux qui ont droit au royaume du monde pendant 21 vies? Les deux
sont liés. C’est seulement si vous êtes des maîtres de vous-mêmes en ce moment,
autrement dit si vous devenez des rois de vous-mêmes maintenant, que vous aurez
une garantie pour 21 vies. «Qui suis-je et que vais-je devenir?». Selon les
droits que vous exercez dans le présent, vous pouvez connaître votre futur.
Voyez seulement combien votre personnalité et votre royauté originelles et
éternelles, à vous, les âmes spéciales, sont élevées! Regardez votre forme
éternelle, quand vous résidez dans la région suprême; vous êtes vues comme des
âmes tellement brillantes! Comme l’éclat de votre royauté et de votre
personnalité brille! Pouvez-vous le voir? Et sous la forme de l’âme, vous restez
avec le Père, vous restez proches. Dans le ciel, certaines étoiles brillent
beaucoup; de même, vous, les âmes, êtes tout particulièrement avec le Père et
vous brillez d’un éclat particulier. Dans la région suprême, vous êtes proches
du Père et ensuite, au début de l’âge d’or, votre personnalité et votre royauté,
les âmes de déités, sont tellement élevées! Faites tout le tour du cycle. Les
âmes religieuses sont venues et reparties, de grandes âmes sont venues et
reparties, les pères des religions sont venus et repartis, les dirigeants
politiques sont venus et repartis, des acteurs sont venus et repartis… Un seul
d’entre eux a-t-il une personnalité semblable à celle des déités de l’âge d’or?
Votre forme de déité apparaît face à vous, n’est-ce pas? Vient-elle devant vous
ou ne savez-vous pas si vous allez le devenir ou non? Est-ce bien ferme que
c’est là ce que vous allez devenir? Ceux du fond, est-ce bien ferme? Faites
apparaître devant vous votre forme de déité et regardez-la: cette personnalité
est-elle apparue face à vous? Elle est tellement royale! Même la nature s’emplit
d’une telle personnalité. Les oiseaux, les arbres, les fruits, les fleurs, tout
a une telle personnalité, une telle royauté! OK, à présent, continuez et
regardez votre forme digne d’adoration. Vous êtes adorés. Les doubles-étrangers
deviennent-ils dignes d’adoration ou seuls ceux de l’Inde le deviennent-ils?
Avez-vous été des déités? Pas des déités avec une trompe d’éléphant ou une queue
de singe! Pas les déesses avec la forme de Kali. Regardez le temple des déités.
Votre forme digne d’adoration recèle une telle royauté et une telle personnalité.
Il y a des représentations d’un mètre vingt ou d’un mètre cinquante, et ils
bâtissent des temples tellement grands. C’est la royauté et la personnalité. A
l’heure actuelle, les gens érigent la statue d’un Premier Ministre ou d’un roi
et placent cette pauvre statue dehors, dans la chaleur. Il peut lui arriver
n’importe quoi! Alors que votre forme digne d’adoration, voyez combien sa
personnalité est grande! C’est très bien, non? Les kumaris sont ici, n’est-ce
pas? C’est votre royauté, n’est-ce pas? Et puis, à la fin, à l’âge de confluence
également, votre royauté à tous est tellement élevée! La personnalité de la vie
brahmine est tellement grande! Dieu Lui-même a directement empli votre vie
brahmine de personnalité et de royauté. Qui est l’artiste de la vie brahmine? Le
Père Lui-même. Quelle est la personnalité, quelle est la royauté de la vie
brahmine? La pureté. La pureté est en soi la royauté. N’est-ce pas? Toutes les
âmes brahmines assises ici, vous avez la royauté de la pureté, n’est-ce pas? Oui,
vous pouvez acquiescer de la tête. Ceux du fond lèvent la main. Vous n’êtes pas
au fond, vous êtes devant Baba. Voyez, le regard de Baba se porte
automatiquement au fond. Il doit faire un effort spécial pour regarder ceux qui
sont devant alors que Son regard se porte automatiquement sur ceux du fond.
Par conséquent,
vérifiez: «Ai-je toujours la personnalité de la pureté? Y a-t-il toujours de la
pureté dans mes pensées, mes paroles, mes actions, mon attitude, mon regard et
mon comportement?». La pureté dans les pensées veut dire avoir toujours de bons
souhaits et des sentiments purs pour tous. Peu importe à quoi ressemble l’autre
âme, celui qui possède la royauté de la pureté aura toujours des pensées emplies
de bons souhaits, de sentiments purs, de sentiments de bienveillance, de
sentiments de miséricorde, de sentiments d’un donneur. Au niveau de son regard,
il verra toujours chacun comme une âme ou dans sa forme angélique. Même si
l’autre n’est pas devenu un ange, dans mon regard, je devrais seulement voir la
forme de l’âme ou la forme de l’ange. Dans mon comportement, autrement dit dans
mes échanges et relations, quand j’entre dans l’action, je dois toujours donner
de l’amour et du bonheur à tous. Qu’ils me donnent de l’amour ou non, mon devoir
et de leur en donner et de les en emplir, et de leur donner du bonheur. Vous
avez une devise: «Ne pas donner de peine, ne pas en prendre non plus». Vous ne
devez ni en causer, ni prendre celle qu’on vous donne. Ceux qui donnent peuvent
aussi parfois donner de la peine, mais voyez cela dans la conscience du bonheur.
On ne pousse pas encore plus une personne qui tombe. On l’élève plutôt, on
l’aide à se relever. Une âme qui cause de la peine le fait parce qu’elle est
tombée et se trouve sous l’emprise d’une influence extérieure ! Par conséquent,
vous ne devez pas la faire tomber encore plus. Il ne faudrait pas que vous leur
donniez encore plus de coups. Non. Elevez-les avec amour. En cela aussi, charité
bien ordonnée commence par soi. La charité commence chez soi, n’est-ce pas?
Elevez tous vos compagnons, vos compagnons de service et les compagnons de la
famille brahmine. Même s’ils révèlent leurs mauvais traits de personnalité,
voyez uniquement leurs spécialités. Vous êtes tous numberwise, n’est-ce pas? Le
chapelet est votre mémorial. Et donc, tous n’ont pas le même rang. Vous
connaissez ce chiffre 108. C’est donc numberwise et ça le restera! Cependant,
quel est votre devoir? Ce n’est pas de penser «OK, de toute façon, je ne fais
pas partie des 8, alors peut-être que je ferai partie des 108. Et donc, je peux
bien être le dernier des 108! Dans ce cas, il me restera bien encore quelques
sanskars, non?». Mais non! En donnant du bonheur et de l’amour aux autres, vos
sanskars deviendront des sanskars d’amour et de bonheur. C’est cela le service
et dans ce service, charité bien ordonnée commence par soi-même (chez soi).
Aujourd’hui, BapDada
a vu quelque chose d’amusant. Devrait-Il vous en parler? Vous aussi, vous allez
trouver cela amusant. BapDada ne cesse d’observer les jeux des enfants. BapDada
regarde sur Sa télévision un centre à un moment donné, en une seconde et puis,
un autre centre. Parfois les centres à l’étranger et parfois les centres en Inde.
Il zappe et peut voir ce que chacun fait parce que le Père vous aime, les
enfants. Les enfants disent aussi: «Nous devons devenir égaux au Père». C’est
bien ferme, n’est-ce pas, que vous devez devenir égaux? Les kumaris, allez-vous
devenir égales ou bien pensez-vous que, quoi que vous deveniez dans le drama,
c'est OK? Non. Vous devez devenir égales. Toutes les kumaris doivent devenir
égales. Dussiez-vous mourir, quoi qu’il vous faille faire, levez la main en y
pensant bien. Oui, celles parmi vous qui pensent que peu importe tout ce
qu’elles doivent faire : même si vous devez mourir, céder – vous incliner –
tolérer ou écouter quelqu’un… levez la main ! Les kumaris, levez la main après
mûre réflexion. Prenez-les en photo! Il y a beaucoup de kumaris. Et si vous
devez mourir? Et si vous devez céder, vous incliner? Les pandavs, levez la main!
Avez-vous entendu? Vous devez devenir égaux. Vous n’aurez aucun plaisir si vous
ne le devenez pas. Et alors, vous ne serez pas proches dans la région suprême
non plus. Le niveau digne d’adoration ne sera pas le même; la fortune du royaume
de l’âge d’or non plus.
Vous aimez le père
Brahma, n’est-ce pas? Ce sont les doubles-étrangers qui l’aiment le plus. Ceux
qui ont un amour profond dans leur coeur pour le père Brahma, levez la main! Les
doubles-étrangers ont-ils de l’amour dans leur coeur? Achcha! C’est de l’amour
vrai, n’est-ce pas? A présent, Baba va vous poser une question. Un signe de
l’amour, c’est que l’on aime faire la même chose que celui ou celle qu’on aime.
C’est seulement si les sanskars, les pensées et la nature des deux concordent
que vous éprouvez de l’amour. Si vous aimez le père Brahma, vous resterez avec
lui pendant 21 vies, depuis la toute première vie. Ce n’est pas bien si vous
venez dans la seconde ou la troisième vie. Vous resterez avec lui de la première
à la dernière vie. Vous resterez avec lui sous différentes formes. Qui peut
rester avec lui? Ceux qui sont égaux. Il est l’âme n°1. Alors, comment
allez-vous rester avec lui? Vous ne resterez avec lui que lorsque vous
deviendrez n°1. N°1 en tout; dans les pensées, les paroles, les actions,
l’attitude, le regard et le comportement. Alors, êtes-vous number one ou
numberwise? Si vous avez de l’amour, il n’est pas difficile de sacrifier quelque
chose par amour. Dans la dernière vie à la fin de l’âge de fer, même ceux qui
ont un amour conscient du corps sacrifient leur vie par amour. Donc ce n’est pas
grand-chose de transformer vos sanskars par amour pour le père Brahma! Est-ce
grand-chose? Non. Alors vos sanskars à vous tous vont-ils changer à compter
d’aujourd’hui? En êtes-vous sûrs? Des rapports seront envoyés. Vos compagnons
écriront à Baba. Etes-vous sûrs? Les Dadis écoutent également. Ils (les doubles-étrangers)
disent que leurs sanskars se sont transformés. Ou cela prendra-t-il du temps?
Mohini, réponds à Baba! Ils changeront, n’est-ce pas? Ils changeront tous,
n’est-ce pas? Ceux d’Amérique changeront. On n’a pas encore abordé le côté
amusant.
Le plus amusant,
c’est que vous dites tous que vous faites beaucoup d’efforts. BapDada aussi
ressent de la miséricorde quand Il voit que vous faites beaucoup d’efforts.
Parfois, vous faites beaucoup d’efforts et que dites-vous? «Que puis-je faire si
mes sanskars sont ainsi?». Vous utilisez vos sanskars comme une excuse et vous
vous justifiez ainsi. Néanmoins, aujourd’hui, le Père a vu que lorsque vous
dites: «Mes sanskars» s’agit-il vraiment des vôtres? Vous êtes des âmes. Vous
êtes des âmes, non? Vous n’êtes pas des corps, n’est-ce pas? Quels sont les
sanskars de l’âme? Et quels sont vos sanskars originels? Tout ce que vous
qualifiez aujourd’hui de vôtre, est-ce à vous ou à Ravan? A qui appartiennent
ces sanskars? Sont-ils à vous? Non. Alors pourquoi dites-vous qu’ils sont à vous?
Vous dites bien, n’est-ce pas, «mes sanskars sont ainsi.» Donc à partir
d’aujourd’hui, ne dites plus: «mes sanskars»! Non. Il arrive que des saletés
volent vers vous de partout, n’est-ce pas? Ainsi, cette chose qui appartient à
Ravan est aussi venue à vous. Comment pouvez-vous dire qu’elles sont à vous? Le
sont-elles? Non, n’est-ce pas? Donc, ne dites plus jamais qu’elles le sont. A
chaque fois que vous prononcez les mots «mon, ma, mes», rappelez-vous qui vous
êtes et quels sont vos sanskars. Ce sont vos sanskars dans la conscience du
corps. Mais ces sanskars n’existent pas dans la conscience de l’âme. Alors
transformez dès à présent votre façon de parler. Vous dites «mes sanskars» et
devenez négligents. Vous dites: «Telle n’était pas mon intention, ce n’est pas
ce que je voulais, mais ce sont mes sanskars». Achcha; et quel autre mot
utilisez-vous? «Ma nature». Le mot swabhav (nature) est très bon(swa = soi; bhav
= sentiment). Le soi est toujours bon. Ma nature, mon intention, est toujours
bonne. Elle n’est jamais mauvaise. Cessez de dire «mes sanskars, ma nature»,
changez de langage. Dès que vous employez le mot «mon», rappelez-vous: «Quels
sont mes sanskars originels?». Qui parle? C’est l’âme qui dit: «Ce sont mes
sanskars». En y réfléchissant, vous rirez de vous. C’est amusant, non? Si vous
vous amusez, cela met un terme à toutes les complications que vous avez créées.
C’est ce qu’on appelle transformer sa façon de parler, autrement dit avoir du
respect et des égards pour chaque âme. Restez toujours dans le respect de soi et
regardez les autres avec respect. Si vous regardez les autres avec respect,
lorsqu’il se produit quelque chose que vous n’aimez pas, dès que survient une
complication, vous n’aimez pas cela, n’est-ce pas? Regardez-vous les uns les
autres avec respect: «Celui-ci est une âme spéciale. C’est une âme brahmine qui
a reçu le soutien du Père. Cette âme fait partie des quelques-unes sur des
millions et des millions». Faites simplement une chose: que le point reste fondu
dans vos yeux, c’est tout! D’abord, vous voyez avec le point (la pupille) et
ensuite, fondez le point dans votre œil. Ainsi, il n’y aura aucun conflit. Vous
n’aurez pas à faire d’efforts. Ce sera une âme qui regarde une âme; une âme qui
parle à une âme. Créez une attitude de conscience d’âme et un regard de
conscience d’âme. Comprenez-vous ce que vous devez faire? Désormais, ne dites
jamais: «Mes sanskars». Quand vous parlez de swabhav (votre nature originelle),
restez dans la nature de l’âme. OK?
BapDada veut que,
durant toute l’année, même si la saison ne dure que 6 mois, donc que toute
l’année, dès que vous rencontrez quelqu’un, qui que vous rencontriez, que ce
soit entre vous ou avec d’autres âmes, dès que vous rencontrez quelqu’un, qui
que ce soit, vous lui donniez la coopération du contentement. Vous-mêmes restez
contents et contentez les autres. Le respect de soi de cette saison est d’être
un joyau de contentement. Soyez toujours des joyaux de contentement. Les frères
aussi sont des joyaux de contentement (joyau = mani, mot féminin en hindi). Pas
des mana (au masculin). Chaque âme est un joyau de contentement à tout instant.
Si vous-mêmes êtes contents, vous rendrez les autres contents. Restez contents
et contentez les autres. OK? aimez-vous cela? Les kumaris aiment-elles cela?
Ceux qui aiment cela et qui le feront – il n’est pas question de simplement
aimer entendre cela – mais ceux qui aiment cela et qui le feront, levez la main!
En voyant toutes les mains, vous contentez le cœur de BapDada. Très bien.
Félicitations. Félicitations. Peu importe ce qui se passe, restez stables sur
votre siège de respect de soi. N’errez pas ici et là, parfois sur un siège,
parfois sur un autre. Non. Restez stables sur votre siège de respect de soi.
Lorsque vous êtes assis sur votre siège de respect de soi, si quelque chose se
produit, regardez-le comme si vous regardiez un dessin animé. Vous aimez les
dessins animés, n’est-ce pas? A ce moment, le problème n’en est pas un, mais
c’est simplement un dessin animé. Un lion vient, puis un mouton, un scorpion, un
lézard sale, etc. C’est un dessin animé. Ne soyez pas déstabilisés tandis que
vous êtes sur votre siège. Ainsi, vous vous amuserez / vous y prendrez plaisir.
A tous les enfants
royaux spécialement aimés; à tous les enfants aimants et coopératifs qui sont en
train de devenir égaux; aux enfants qui font resurgir leurs sanskars élevés
ainsi que leurs sentiments élevés vis-à-vis d’eux-mêmes; aux enfants qui donnent
toujours du bonheur et de l’amour à tous; à ceux qui deviennent des joyaux de
contentement et qui rayonnent constamment de contentement, BapDada donne Son
Amour, Son Souvenir et dit: «Namaste».
Bénédiction:
Puissiez-vous
devenir des maîtres donneurs comme le Père Brahma et faire l’expérience du
niveau d’avoir des pensées pures et positives pour vous-mêmes et pour les autres.
Afin de devenir des
maîtres donneurs, comme le père Brahma, restez libres de trois aspects: la
jalousie, l’inimitié et la critique, et nourrissez des pensées pures et
positives pour tous. Faites l’expérience du niveau de n’avoir que des pensées
pures et positives. Parce que ceux qui ont en eux le feu de la jalousie se
brûlent eux-mêmes (brûlent intérieurement) et créent également un malaise chez
les autres. Ceux qui ressentent de l’inimitié tombent et font tomber les autres
également et ceux qui critiquent les autres, même pour plaisanter, les
découragent et les rendent malheureux. En conséquence, restez libres de ces
trois aspects et faites l’expérience du niveau de n’avoir que des pensées pures
et positives et ainsi, devenez des maîtres-donneurs, les enfants du Donneur.
Devise:
Ceux qui
exercent une souveraineté totale sur leur esprit, leur intellect et leurs
sanskars sont maîtres d’eux-mêmes, des souverains d’eux-mêmes.
Avec votre esprit
puissant, faites le service de donner sakaash.
Les enfants
brahmines, vous êtes le tronc et l’arbre entier reçoit sakaash du tronc. Donc, à
présent, devenez ceux qui donnent sakaash au monde. Si vous avez 20 centres, 30
centres ou 200 à 250 centres ou votre région ou Etat dans votre intellect, vous
ne serez pas en mesure de donner sakaash à l’illimité. Par conséquent, restez
automatiquement au-delà de toute limite et commencez le rôle de faire un service
illimité. En allant dans l’illimité, vous vous libérerez automatiquement de tout
ce qui est limité. Une transformation avec un sakaash illimité est le résultat
d’un service rapide.